groupe

nom masculin
(italien groppo, nœud, du germanique kruppa, masse arrondie)

Cet article fait partie du DOSSIER consacré à l'immunité.

Partie homogène d'un ensemble dans une classification : Division en groupes et en sous-groupes.
Ensemble de choses, d'animaux ou de personnes, formant un tout et définis par une caractéristique commune : Groupe ethnique. Le groupe des moyens et le groupe des forts.
Ensemble formé par des choses ou des êtres de même nature et, en particulier, ensemble défini par le nombre ou la quantité qui le constitue (par opposition à un) : Un groupe d'arbres dans le jardin. Marcher par petits groupes.
Formation d'orchestre, de choristes, de chanteurs, etc. : Aller écouter un groupe pop.
Ensemble d'écrivains, d'artistes que réunissent des affinités et des objectifs communs : Le groupe de la Pléiade.
De groupe, qui est fait à plusieurs ou concerne plusieurs personnes (par opposition à individuel) : Travail de groupe. Billet de groupe.
En groupe, à plusieurs, par opposition à individuellement.
Groupe de travail, réunion de personnes qui étudient une même question.Astronomie Petit amas de galaxies. Groupe local, petit amas de galaxies auquel appartient la Galaxie. (Il comprend une trentaine de membres, parmi lesquels les Nuages de Magellan et la galaxie M31 d'Andromède.)Biologie Subdivision usitée en classification zoologique ou botanique et dont on ne peut pas ou on ne veut pas préciser la valeur hiérarchique. (Synonyme : taxon.) Groupe systématique ou groupe, ensemble d'espèces proches, du point de vue de la systématique : Le groupe des conifères. (La notion de groupe est indépendante des divisions traditionnelles de la classification, telles que l'embranchement, la classe ou la famille.)Beaux-arts Réunion de figures et d'objets formant un ensemble ; en sculpture, en particulier, réunion de deux ou plusieurs figures en ronde bosse sur un même support.Droit Cabinet de groupe, cabinet dont les locaux et parfois le personnel sont communs à deux ou plusieurs personnes exerçant une profession libérale. (Synonyme : cabinet groupé.)Économie Ensemble de sociétés financièrement dépendantes d'une société mère qui les contrôle. (Il n'y a pas, en France, de définition légale du groupe. Mais la consolidation des comptes, sur la base de certaines conventions, représente une reconnaissance officielle de l'existence des groupes.)Électricité Ensemble de dispositifs de même type couplés de façon à agir simultanément. Groupe générateur, association de machines tournantes permettant de transformer l'énergie mécanique ou thermique en énergie électrique. (On distingue les groupes hydroélectriques et les groupes thermoélectriques.) Groupe Ward-Léonard, ensemble constitué d'un moteur à courant alternatif entraînant une génératrice de courant continu qui alimente directement l'induit d'un moteur à courant continu dont la vitesse et le sens de rotation sont réglés par le courant d'excitation de la génératrice.Enseignement Groupe scolaire, ensemble d'établissements scolaires (écoles maternelle, primaire, éventuellement collège) qui sont contigus ou très proches l'un de l'autre.Éthologie Effet de groupe, ensemble des modifications morphologiques, physiologiques et éthologiques que provoque le confinement de deux ou plusieurs individus de la même espèce dans un espace restreint.Industrie du froid Groupe frigorifique, groupe motocompresseur, ou groupe compresseur-condenseur, ou système frigorifique préassemblé.Génétique Groupe de liaison ou de linkage, groupe de gènes portés par un même chromosome et qui se combinent moins souvent que s'ils étaient portés par des chromosomes différents.Mathématiques Ensemble G muni d'une opération ⋆ interne dans G, associative, qui admet un élément neutre et telle que tout élément a un symétrique et un seul. [On note le groupe (G, ⋆).]Médecine Groupe sanguin, ensemble d'antigènes portés par les éléments figurés du sang et certaines protéines sériques, génétiquement induits et génétiquement indépendants les uns des autres et se répartissant en systèmes. (L'identification de groupes leucocytaires, plaquettaires et d'immunoglobulines conduit à une définition plus extensive des groupes sanguins, définition limitée à l'origine aux seuls groupes érythrocytaires.) Groupe sanguin érythrocytaire, groupe sanguin spécifique aux érythrocytes. (Les groupes érythrocytaires se répartissent en systèmes.) [On dit couramment groupe sanguin.] Groupe tissulaire, synonyme de système HLA.Militaire Unité militaire tactique généralement composée de plusieurs batteries, compagnies ou escadrons, et placée sous les ordres d'un officier supérieur. Formation élémentaire du peloton ou de la section, généralement composée d'une douzaine d'hommes. Ancienne unité de combat de l'armée de l'air appelée aujourd'hui escadron. Groupe d'armées, réunion de plusieurs armées sous un même commandement pour une mission de caractère stratégique.Politique Groupe parlementaire, formation permanente réunissant au sein d'une assemblée politique les élus d'une même tendance. Groupe de pression, structure dont se dote une communauté aux intérêts ou convictions semblables pour influencer les pouvoirs publics à son avantage, notamment par des campagnes d'opinion. (Synonyme : lobby.)Presse Groupe de presse, ensemble de journaux qui appartiennent à un même propriétaire ou à une société mère.Psychanalyse Fantasme de groupe, fantasme qui relie dans l'ordre imaginaire l'individu à un groupe ou à un corps social d'appartenance par lequel il échappe à sa finitude propre. Imaginaire de groupe, ensemble des fantasmes qui traversent un groupe à un moment donné. Inconscient de groupe, agencement de pulsions qui traversent un groupe, le constituent ou le détruisent.Psychologie Groupe d'aide psychopédagogique (G.A.P.P.), structure mise en place par l'Éducation nationale, fonctionnant pendant les heures de classe, comprenant un psychologue scolaire, un psychorééducateur et un orthophoniste, prenant en charge individuellement ou en petits groupes des enfants ayant des difficultés scolaires. Groupe de base, groupe centré sur le groupe, groupe de diagnostic, groupe d'évolution, groupe de formation, groupe de sensibilisation, synonyme de training group. Groupe INRC, selon J. Piaget, structure logique à la base de la pensée formelle de tout homme dans laquelle chaque opération identique (I) est à la fois l'inverse d'une autre (N) et la réciproque d'une troisième (R), celle-ci étant également la corrélative (C) [ou duale] de la première opération. Groupe de rencontre, groupe centré sur l'évolution personnelle de chaque sujet qui le compose et généralement dans une visée thérapeutique variable selon la technique mise en œuvre (bioénergie, Gestalt-thérapie, notamment).Sociologie Groupe primaire, groupe restreint de personnes communiquant entre elles directement. Groupe secondaire, groupe généralement important dans lequel les relations se font le plus souvent par personnes interposées.Technique Groupe hydraulique, dans un circuit hydraulique, ensemble (filtres, pompes, etc.) permettant le conditionnement et la mise en circulation du fluide. (Synonyme : centrale hydraulique.)Télécommunications Groupe de voies, ensemble de voies de transmission multiplexées pour être transmises, amplifiées et traitées comme un tout.

ÉTHOLOGIEL'effet de groupe peut se traduire (criquet migrateur) par l'apparition de tendances grégaires et migratrices ou par des changements de forme et de couleurs du corps. Résultant non seulement de stimulations sensorielles entre individus, mais aussi de l'action des phéromones, cet effet se fait aussi sentir chez divers insectes (blatte, grillon, cul-brun), les poissons et les souris.

MATHÉMATIQUESSi (G, ⋆) est un groupe, alors l'opération ⋆ vérifie : – quels que soient x et y, éléments de G, x ⋆ y ∊ G ;– quels que soient x, y, z, éléments de G, x ⋆ y ⋆ z = x ⋆ (y ⋆ z) = (x ⋆y) ⋆ z ;– il existe un élément noté e de G tel que, quel que soit x, élément de G,x ⋆ e = e ⋆ x = x — pour tout élément x de G, il existe un élément x′ de G tel que x ⋆ x′ = x′ ⋆ x = e.Si l'opération ⋆ est commutative, (G, ⋆) est un groupe commutatif ou abélien.Quand l'opération ⋆ est notée additivement (+), le groupe est dit additif et le symétrique d'un élément x, ou opposé de x, se note − x et e = 0. Quand l'opération ⋆ est notée multiplicativement, le groupe est dit multiplicatif et le symétrique d'un élément x, ou inverse de x, se note x−1 et e = 1.La structure de groupe intervient souvent en mathématique et sert de base aux autres structures (anneaux, corps, etc.). Les groupes les plus courants sont, en algèbre : (ℤ, +) groupe des entiers relatifs ; (ℝ*, ×) groupe des réels non nuls ; groupe des substitutions ; groupe de transformations ; en géométrie, groupe des translations, groupe des rotations de même centre, groupe des isométries, etc.La théorie des groupes a joué un rôle essentiel dans l'évolution de la géométrie, ainsi que dans la résolution des équations algébriques ; elle intervient aujourd'hui de façon fondamentale dans presque toutes les branches des mathématiques modernes et en physique (cristallographie, mécanique quantique, théories des interactions entre particules fondamentales).

MÉDECINEDes antigènes portés par des cellules du sang, et identifiés par des anticorps spécifiques définissent les groupes sanguins. D'un individu à l'autre, au sein d'une même espèce, on constate des variations (allotypie). HistoriqueLa découverte par Karl Landsteiner, en 1900, du système ABO constitue l'identification du premier système de groupes sanguins. De loin le mieux connu, il est à la base de la transfusion sanguine. Landsteiner et Philip Levine découvrent, en 1927, les systèmes MN et P, puis Levine, en 1939, démontre l'existence du système Rhésus. Le nom de Rhésus donné à cet antigène, résulte d'une confusion au début avec l'antigène LW, défini par Landsteiner et Alexander Wiener par hétéro-immunisation de lapins avec des hématies du macaque rhésus (Macaca mulatta). On compte actuellement plus de 20 systèmes de groupes érythrocytaires, dont les principaux sont, par ordre chronologique de leur découverte : ABO et Hh, MNS, P, Rh, LW, Lutheran, Kell, Duffy, Lewis.La découverte du système ABO a permis l'essor de la transfusion sanguine, elle-même à l'origine de progrès considérables en médecine, mais surtout en chirurgie. Ainsi s'est développée l'immunohématologie, enrichie, entre 1955 et 1960, par la reconnaissance des antigènes portés par les leucocytes et les plaquettes. Jean Dausset a montré qu'il s'agit d'un système d'histocompatibilité. En 1956 ont été découverts des groupes de protéines sériques.Le système ABOPrincipeLes membranes des érythrocytes (globules rouges) humains possèdent des antigènes appelés agglutinogènes, dont les plus importants et les mieux connus sont les agglutinogènes A et B. Selon la présence ou l'absence de ces deux agglutinogènes sur leurs globules rouges, les individus sont répartis en quatre groupes sanguins principaux : le groupe A (qui possède des agglutinogènes A), le groupe B (agglutinogènes B), le groupe AB (qui possède les deux agglutinogènes) et le groupe O (qui ne possède aucun agglutinogène).Les anticorps anti-agglutinogènes sont appelés agglutinines. Ils peuvent être hérités ou résulter de l'exposition aux globules rouges d'un autre sujet, par exemple au cours d'une transfusion ou pendant une grossesse (par passage d'hématies fœtales dans la circulation sanguine maternelle). Les agglutinines produites par un individu sont dirigées contre le ou les agglutinogènes absents de ses globules rouges.Ainsi, les individus du groupe A possèdent sur leurs globules rouges des agglutinogènes A, et ils développeront des anticorps dirigés contre les agglutinogènes du groupe B (agglutinines anti-B). Quand on mélange leur plasma avec des cellules du groupe B, ces agglutinines et les agglutinogènes des cellules B réagissent, produisant l'agglutination des cellules du groupe B, puis leur destruction (hémolyse).De la même façon, les individus du groupe B possèdent des agglutinogènes B, tandis que leurs anticorps sont dirigés contre les agglutinogènes A (agglutinines anti-A).Les individus du groupe AB possèdent à la fois les agglutinogènes A et B ; ils n'ont ni anticorps anti-A, ni anticorps anti-B : ils n'ont ainsi aucune agglutinine circulante, sinon ils agglutineraient leurs propres globules rouges.À l'inverse, les sujets du groupe O, dont les globules rouges ne portent aucun agglutinogène, ont des anticorps dirigés contre les deux types d'agglutinogènes : ils ont des agglutinines anti-A et anti-B ; c'est pourquoi il ne peut leur être transfusé que du sang de leur propre groupe.Certains sujets possèdent, outre l'agglutinogène A, un agglutinogène supplémentaire appelé A1. Le groupe A est donc subdivisé en groupe A1 (ceux qui possèdent les deux agglutinogènes A) et le groupe A2 (ceux qui n'ont que l'agglutinogène A). Ainsi, on distingue en fait six groupes sanguins ABO : A1, A2, B, A1B, A2B, O.Détermination du groupe sanguinDes réactions transfusionnelles hémolytiques graves surviennent en effet lorsque du sang est transfusé à un sujet dont le groupe sanguin est incompatible, c'est-à-dire à un sujet qui possède les agglutinines anti-globules rouges du sang donné (il y a dans ce cas incompatibilité sanguine entre les deux sujets).Le sang du groupe A peut être transfusé aux individus du groupe A et à ceux du groupe AB, et le sang du groupe B aux sujets du groupe B et à ceux du groupe AB.Les personnes du groupe AB sont appelées des receveurs universels parce qu'elles n'ont aucune des deux agglutinines anti-A et anti-B (aucun anticorps anti-globule rouge) ; elles peuvent donc recevoir sans risque du sang de n'importe quel groupe. En revanche, leur sang, qui porte les deux agglutinogènes A et B, ne peut être transfusé qu'à des personnes également AB.À l'inverse, les individus du groupe O sont appelés donneurs universels parce que leurs globules rouges ne portent aucun des deux agglutinogènes A et B ; leur sang ne déclenchera pas de réaction avec des agglutinines et peut donc généralement être injecté à n'importe qui. En revanche, comme ils possèdent à la fois les anticorps anti-A et les anticorps anti-B, ils ne peuvent recevoir que du sang de groupe O.Groupes sanguins et génotypesLes groupes sanguins sont héréditaires, et le groupe ABO est porté par un seul locus. Il peut donc y avoir trois types d'allèles A, B et O. L'allèle O est récessif par rapport aux allèles A et B ; les allèles A et B sont, eux, dominants. Plus précisément, s'ils sont présents tous les deux, ils s'expriment tous les deux : ils sont dits codominants.De sorte qu'un sujet du groupe O présente le génotype OO, celui du groupe A, le génotype AA ou AO, celui du groupe B, le génotype BB ou BO et celui du groupe AB, le génotype AB. Lorsqu'on connaît les groupes sanguins des parents, on peut donc supputer les génotypes possibles de leurs enfants. De même, quand les groupes sanguins d'une mère et de son enfant sont identifiés, il est possible de vérifier qu'un homme de groupe sanguin donné peut ou ne peut pas être le père (un père AB ne peut avoir un enfant O, par exemple). C'est pourquoi la connaissance des groupes sanguins intervient en médecine légale dans la recherche de paternité. Elle ne permet toutefois pas de prouver qu'un homme est le père, mais seulement d'exclure, avec certitude, une éventuelle paternité.Autres groupes érythrocytairesOutre les six antigènes du système ABO des globules rouges humains, il existe d'autres systèmes antigéniques sur les globules rouges (notamment le système Rhésus) possédant chacun de nombreux antigènes particuliers. Certains de ces antigènes ont des conséquences transfusionnelles ou obstétricales, tels les systèmes Kell, Duffy ou Kidd.ApplicationsLes connaissances sur les groupes sanguins ont permis la réalisation, sans danger et efficace, de la transfusion sanguine en ajustant la compatibilité entre le donneur et le receveur. Les applications de l'immunohématologie à la pathologie ont également permis d'élucider les mécanismes physiopathologiques de l'incompatibilité fœto-maternelle aux antigènes du système Rhésus et à d'autres systèmes, et le traitement de la maladie hémolytique néonatale par l'exsanguino-transfusion a pu être réalisé. Les résultats des greffes d'organes sont aussi largement tributaires des connaissances approfondies des groupes sanguins.La connaissance de ces groupes et de leur transmission héréditaire a permis d'asseoir scientifiquement la recherche de paternité. Elle a amené également la création d'une nouvelle discipline : l'hémotypologie, qui cherche à définir des groupes d'individus, c'est-à-dire des populations, en s'appuyant sur la répartition dans le monde des systèmes de marqueurs génétiques (groupes sanguins, tissulaires et de protéines). Cette discipline a montré qu'il n'existe pas de gènes marqueurs absolus d'une population et que la notion de race n'a pas de fondement biologique. La rareté ou la fréquence de certains gènes peuvent caractériser une population. Ces différences de fréquence peuvent avoir des conséquences sur le type de pathologie observée. Au Japon, par exemple, la maladie hémolytique néonatale Rhésus est pratiquement inconnue en raison de la rareté du groupe Rhésus négatif.

POLITIQUEDes bouilleurs de cru de naguère aux modernes lobbyistes cherchant à peser sur les décisions prises à Bruxelles, la différence semble non négligeable, et pourtant ils entrent dans la même catégorie : les groupes de pression. La question de leur contrôle et de leur légitimité a été maintes fois posée.S'agissant du contrôle, le trafic d'influence est sanctionné pénalement. On a recommandé d'encadrer le lobbying d'un point de vue réglementaire. S'agissant de la légitimité, on a avancé l'idée selon laquelle les groupes de pression incarnent des intérêts particuliers, propres à conforter l'intérêt général. Sous peine de vacuité, celui-ci ne peut plus faire abstraction de ceux-là qui, dès lors, loin d'être illégitimes, concourent à sa légitimité.Une importante évolution conceptuelle marque cette nouvelle approche du lien entre volonté générale et opinions particulières, et ce, justement, parce que les groupes de pression ne se présentent pas comme les défenseurs d'opinions corporatistes, mais comme les promoteurs d'argumentaires techniques profitables à l'ensemble de la collectivité. Ils arguent de leur fine connaissance du domaine concerné pour éclairer la décision publique, sans intention d'exercer une influence occulte. Ils peuvent ainsi agir très en amont de la préparation d'une loi pour souligner enjeux, impacts, pièges rédactionnels. Les normes devenant de plus en plus nombreuses et complexes, les groupes de pression s'emploient à décortiquer leurs implications, difficilement mesurables dans une Europe élargie et un monde globalisé.L'Union européenne a donné un essor durable aux groupes de pression, qui apparaissent souvent comme le lien entre une bureaucratie caricaturée comme impersonnelle et des citoyens qui ne perçoivent pas toujours leur appartenance à un ensemble commun. Les groupes de pression seraient gage de modernité pédagogique : expliquer aux pouvoirs publics, à l'opinion publique, les exigences d'une économie concurrentielle, qui se doit d'être assortie de normes juridiques elles-mêmes concurrentielles.Les groupes de pression se situent à la croisée idéologique du libéralisme et du patriotisme économique.

PSYCHOLOGIELes quatre opérations du groupe INRC sont celles qui sont mises en œuvre par l'adolescent, sans qu'il puisse les formuler explicitement, mais que l'on peut mettre en évidence dans des situations expérimentales. Avant l'acquisition du groupe INRC, chacune des opérations est pratiquée par l'enfant sans qu'il soit capable de saisir le lien qui existe entre elles. Piaget a dégagé le groupe INRC en calquant le modèle qu'il implique sur le modèle mathématique du groupe de Klein.
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